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Recherche par lecteur : Benjamin Blais

43 résultats. Page 3 sur 3.

Durée:1h. 55min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:72307
Résumé: Dans cet ouvrage, Robert Hébras livre à Laurent Borderie ses souvenirs du massacre d'Oradour-sur-Glane.
Durée:9h. 15min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:71860
Résumé: Ruth et les siens sont revenus s'installer en République dominicaine, un choix qui les comble et leur permet d'envisager une nouvelle vie. La réapparition de Lizzie, malade, bouleverse leurs projets car Ruth s'emploie à remettre son amie d'enfance sur pied.
Durée:52min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:71455
Résumé: Le harcèlement scolaire à nu, ses conséquences, son émulation perverse mais aussi, très joliment, les mots académiques pour le mettre à distance. Dans un récit court et tendu, Benjamin Taïeb revient sur cette sortie scolaire où il subit la violence de quatre de ces camarades. Classe de mer se révèle un texte dont la force tient à la concertation du jaillissement de cette colère irrépressible. Il faut s’en prendre la violence en pleine gueule, se souvenir de nos silences, des acceptations tacites de cette enfance si malhabile à réagir face à la loi du plus fort, s’inquiéter sans doute aussi de notre passivité d’adulte qui laisse perdurer cette violence et ne sait, ou ne veut, en déchiffrer indices et signaux. Les paragraphes sans doute le plus touchant de ce livre émouvant, précisément d’éviter de sombrer dans un pathétique tire-larmes, sont ceux qui mettent le doigt sur les ratés de la réaction des adultes. Deux semaines de classe de mer, deux longues semaines de tortures nocturnes à apprendre que les persécuteurs, de jours, savent déjà témoigner de leur innocence. Pendant ce temps-là l’institutrice, tout à ses conflits conjugaux, ne voit rien. On sait, hélas, qu’un enfant persécuté prendra sur lui, se sentira coupable, cherchera en lui les raisons de cette torture (pas assez bien, le dernier à être choisi en sport…) et pour cela n’en parlera pas. Il se tait face à ses parents, ne pas faire de la peine. « Les bleues finiraient bien par disparaître », on finira bien par pardonner. Il faudra bien s’intégrer, se fondre dans la normalité, le groupe.